Articles avec #evenements tag
Oeuvre monumentale de S.ROZAND
L'Agglomération de Argenteuil-Bezons vient d'acquérir
l’œuvre monumentale de Stéphane ROZAND
intitulée "Le couloir de l'Espoir"
En voici l'installation ET l'inauguration !!!
PRESSE
L’Argenteuillais n° 182
ORGEMONT-VOLEMBERT
Jardin des Justes : le projet prend forme
Le chantier, commencé fin octobre, avance plutôt bien. Si les conditions météo. se maintiennent – du froid, mais pas trop, pas de grosses pluies –, les échéances seront tenues, pour un achèvement projeté fin 2013. Et la sculpture de Stéphane Rozand, au sein du jardin de mémoire, a pris place sur le site depuis le 29 novembre. Un peu de détails sur ce futur espace vert, discrètement lové rue des Provençaux, qui offre pourtant une vue imprenable sur Paris et une partie de sa banlieue.
Points d’étape :
• Terrassements : presque finis, dont la butte centrale, recouverte de terre ;
• Murets-gradins installés à l’intérieur du jardin : faits ;
• Plantations : la 2e phase a commencé le 28/11 (environ 15 à 20 arbres) côté talus Sncf et jardin-mémoire, la 3e clôturera le chantier ;
• Ouvrages en bois : débutent d’ici une quinzaine de jours ;
• Cheminements (stabilisé) : débutent d’ici une dizaine de jours.
« Le couloir de l’espoir », sculpture monumentale
Plus d’une tonne, 5 m de long sur 2 de haut… C’est du lourd : des pièces d’acier, parfois déformées, assemblées et soudées à l’arc par les soins de l’artiste argenteuillais Stéphane Rozand. L’œuvre est installée en bord de chemin, sur une partie plane contre la clôture du jardin. Pour la mettre en valeur, elle se trouve légèrement surélevée mais reste incluse dans l’ensemble du jardin-mémoire, en hommage à l’engagement de plusieurs familles d’Orgemont pendant la Seconde Guerre mondiale pour protéger des enfants juifs.
« Après accord de la mairie sur l’un de mes trois projets – le plus figuratif –, je me suis attelé à la réalisation fin août. Il fallait que ce soit fini pour mi-novembre, j’y ai donc travaillé tous les jours, sans répit ! » (…) « En rencontrant les enfants de l’école d’Orgemont, je suis entré bien sûr dans les locaux. J’ai été inspiré par les couloirs de cette école, avec des portemanteaux. J’avais oublié cette dimension de mon enfance ! Mais j’ai retenu ces aspects matériels : ils m’ont inspiré pour mon socle de sculpture, pour en faire en quelque sorte le plancher. Le couloir fait allusion à l’école, à l’âge des enfants sauvés pendant la guerre et à ceux d’aujourd’hui. »
L’Argenteuillais / L’Hebdo n° 179
ORGEMONT-VOLEMBERT
Jardin des Justes : le chantier commence. Nous en sommes aux terrassements depuis la dernière semaine d’octobre… Mais la transformation est déjà spectaculaire ! Livraison annoncée : fin d’année 2013 (selon conditions météo).
L’hommage aux Justes Il s’agit de l’ancien terrain des Provençaux en partie réaménagé et clôturé en 2011, rebaptisé aujourd’hui «jardin des Justes». L’aménagement plus complet de cet espace répond en partie au manque d’espaces verts de petite ou moyenne superficie dans le quartier.
Bien sûr, la butte d’Orgemont n’est pas si loin,mais son accès n’est pas toujours commode. Sa véritable transformation commence à peine… Aire de jeux, limite arborée conservée, nouvelles plantations réalisées première quinzaine de novembre (plusieurs variétés d’érables, bouleaux, magnolias, prunus, charmes…), cheminements multiples en stabilisé (sable compacté), bancs et corbeilles, entrée dallée en béton, petit belvédère, jardin mémoire où sera notamment installée une sculpture en métal de l’artiste argenteuillais Stéphane Rozand sont prévus dans l’aménagement
(budget estimé : 760 000 €).
Pour saluer le courage de plusieurs familles du quartier d’Orgemont… Celles-ci ont bravé les interdits de la France vichyste à la solde de l’Allemagne hitlérienne pendant la Seconde Guerre mondiale : via la Croix-rouge française, ces familles ont recueilli, élevé et sauvé plusieurs enfants juifs, promis à la déportation. Aujourd’hui décédés, les couples qui se sont ainsi engagés ont été décorés, à titre posthume, de la médaille des Justes parmi les nations par le comité français pour Yad Vashem. Inscrit dans l’histoire d’Argenteuil, cet épisode lié au second conflit mondial a été étudié et mis en valeur par les élèves et les enseignants de l’école d’Orgemont, en collaboration avec le Conseil de proximité et la Maison de quartier Orgemont-Volembert. Le devoir de mémoire, toujours indispensable, peut s’illustrer de diverses manières. Celle du « jardin des Justes » est simplement l’une d’entre elles.
Ecole de Jeux de Rôles Grandeur Nature,école de théâtre,formation Jeux de Rôles formation GN Murder Party création de murder party troupe de jeu de rôles costume maquillage spectacle soirée crime soirée enquête cluedo cluedo géant Ecole de Jeux de Rôles Grandeur Nature école de théâtre formation Jeux de Rôles formation GN Murder Party création de murder party troupe de jeu de rôles costume escape game maquillage spectacle soirée crime, soirée enquête, cluedo cluedo géant Ecole de Jeux de Rôles Grandeur Nature école de théâtre formation Jeux de Rôle formation GN Murder Party création de murder party,troupe de jeu de rôles costume maquillage spectacle soirée crime soirée enquête, cluedo, escape game Ecole de Jeux de Rôles Grandeur Nature école de théâtre formation Jeux de Rôles formation GN Murder Party création de murder party troupe de jeu de rôles costume, maquillage spectacle soirée crime soirée enquête cluedo escape game jeu d’évasion live escape game art atelier artiste lieu espace loft centre de formation formation artistique stage initiation soudage soudure métal ferronnerie sculpture sur métal mobilier métal mobilier indus récup bio art récupération art brut recyclage patine métal porte table chaise fauteuil meuble console tabouret bar verrière escalier insolite délire cadeau formation création vitrail verre sculpture argile terre soudure à l'arc vitrail lampe stage de vitrail stage de soudure à l'arc formation métal CPF CIF DIF organisme de formation arts plastiques art thérapie art thérapeutique scrapbooking mosaïque paris ile de France île de France argenteuil 95 animation soirée soirée enquête murder party séminaire entreprise CE cluedo performance rozand elphege acuti woody,1D20 association RPG jeu de rôles jeux grandeur nature écriture atelier d'écriture enseignement stage formation centre de formation organisme de formation art artiste figuratif défiguratif radio M6 TF1 arte FR3 France 2, comédienne comédien rôliste cours cinéma film télé sous le porche cherche animation séminaire les ateliers d'argenteuil relooking animation clef en main spectacle stage clef en main doctorat gatelet, émission congé individuel à la formation ANFH droit individuel à la formation fongécif AFDAS auteur roman nouvelle scénario scénarii scénariste œuvre œuvre d'art escape game jeu d’évasion exposition mobilier métal mobilier indus création idée cadeau insolite idée cadeau original offrir matériaux terre particulier cours particulier moulage plâtre, peinture acrylique huile pastel encre vintage incentive team building incentive team building animation soirée séminaire murder party RPG formation soudure paris formation soudure formation soudure île de France stage soudure stage soudure paris stage soudure île de France soirée enquête soirée crime soirée meurtre restaurant événementiel diner spectacle 1D20 la première école de jeux de rôles grandeur nature location espace costumes maquillage costumier maquilleur FX art dramatique masque école de cinema écoule de costume école de spectacle spectacle ludique et interactif troupe 1D20 escape game jeu d’évasion incentive team building
"Dans l'Antre, nue" de ACUTI
"Dans l'Antre, nue" de ACUTI,
Auteur et Sculpteur aux Editions de L'Atelier du grand tétras.
http://www.latelierdugrandtetras.fr
Un ouvrage avec reproductions photographiques sur son processus de création.
ACUTI saluée par Artension
ACUTI saluée au concours de Critiques d'Art 2012
du magasine Artension.
L'auteur saluée par le Jury qui a retenu Benoit COURCELLES dans la catégorie "Confirmé".
Le jury était constitué de : Hervé COURTAIGNE, Anne Marie et Roland PALLADE, galeristes à Paris et à Lyon ; Pierre SOUCHAUD, jean-Luc PONCIN, Fanny LAHEURTE et Françoise MONNIN, respectivement fondateur, directeur et directrice artiqtique et rédactrice en chef ; et des journalistes Fréderic-Charles BALTINGER, Marie GIRAULT, Marion KLING et Patrick LE FUR.
Son texte portait sur le travail de Zlatko GLAMOTCHAK
Blêmes, blancs, bras ballants et muscles saillants. Dilemmes vivants, les Golems de Glamotchak sont souffrants, en sang et nécessairement dérangeants tout comme son Evèque fou piétinant des entrailles.
Dans un premier temps, ces êtres dégouttants happent le regard du spectateur devenu subitement voyeur tragique, qui oscille entre attirance et rejet, dans un mouvement incessant, hypnotique. Ils l’emprisonnent et c’est violent, l’attachent, le lient. Font de lui soit un bourreau, soit une victime, mais ne laissent aucunement indifférent.
Ils font de nous, être de chair et d’esprit, j’espère … des êtres réfléchissants. Non seulement des êtres miroir, mais des êtres qui s’interrogent. Au regard de ses sculptures qui dérangent, ces dernières nous transfigurent. Sur nous, elles agissent.
Pourquoi ?
C’est parce que Glamotchak abolit la distance.
Tout d’abord, en choisissant la sculpture, ses trois dimensions et l’échelle 1, cette proximité dans la taille et le volume qui fait écho à nos corps. Cette sculpture qui devient rare, parce qu’encombrante, à l’heure des galeries minuscules pour cause de surenchère immobilière. Face à face avec ces homoncules, nous sommes face à nous-mêmes.
Ensuite, en montrant avec réalisme ces êtres angoissants nous offrant leur nudité, aussi démunis qu’un nouveau-né. Cette innocence martyrisée. Rien ne manque, c’est précis, ciselé, finement étudié.
Le mécanisme est huilé. A nous de l’analyser, d’aller par-delà le choc procuré.
En abolissant la distance entre l’œuvre et le spectateur, Glamotchak le responsabilise. Il n’est plus question d’objet, mais bien de sujet. Le spectateur se retrouve prisonnier de son propre regard. Qu’il le détourne, et c’est condamnable abandon. Qu’il l’appuie et c’est innommable attraction.
Rares sont ces œuvres aujourd’hui dont la force réside dans l’ambivalence. Non pas vides de sens ou au contraire saturées d’évidence. Glamotchak nous laisse interdits. Aussi ahuris que ces sculptures en torture, en folie. Il évoque le pire, l’horreur cachée, nous la rappelle, terrorisé qu’il est par la capacité de l’Homme à détruire. Sans doute ne s’en remet-il pas. Nous non plus.
Dans un second temps, ses sculptures toxiques forcent notre esprit à l’analyse critique.
Glamotchak nous ferait presque oublier qu’il fait œuvre.
Qu’il travaille admirablement l’argile, la modèle, la presse, la force, la caresse et qu’entre ses mains de sculpteur, il lui donne forme et donne forme à nos peurs. Qu’elle est matière à l’origine. En indiquant uniquement « Polyester » sur le cartel qui mentionne le titre de la sculpture et la technique employée, il tait la terre comme une relation intime, pudique qu’il est. Magnifique mise en abîme. Mais elle est bien là, à la genèse de ses créations, cette terre qu’il recouvre de couches de plâtre pour en faire des moules qui serviront ensuite à la création plastique de ce que nous verrons, dans les vapeurs méphitiques de styrène, de la résine polyester. Inanimée matière ?
Car il ne faudrait pas manquer d’évoquer le talent indéniable de cet artiste du Monténégro, ami de Dado. Au-delà d’une image forte du corps sous toutes ses coutures, il est question de dextérité, de technicité où le corps de l’artiste est mis à mal, son pronostic vital engagé. C’est un rapport physique qu’il ne faut pas oublier. Un combat à mener. Dans les émanations toxiques, il ébarbe, polit, colore et peint. Car il est peintre aussi.
L’attention, la tension que génère son travail est le résultat d’une connaissance anatomique sans faille. Aurait-il disséqué des cadavres ? Non, nous dit-il, quelques gouttes de sang et le voilà inconscient. Chaque corps fait signe de résistance, alors que chaque muscle, chaque tendon semble étiré à la limite de la rupture. Chaque veine évoque le combat de la vie et de la mort. Chaque saignement, chaque écoulement placé avec précision, dénoncent la traction et l’attraction toute terrestre où les fluides cheminent vers le bas, le sol, alors que le cou, la tête et la bouche grande ouverte happent l’air dans un mouvement opposé. Chaque touche de peinture participe à l’effet dramatique.
Glamotchak exprime dans le silence, la révolte, la résistance. Il est question d’inspiration comme de respiration. Il nous dit la vie, sa fragilité, sa beauté. Il fait œuvre d’Humanité.
Dans ce monde où, à cause d‘une manipulation perverse, le contraire de la tolérance, à savoir l’intolérance, n’existe plus, mais porte (déguisé), le même nom : tolérance (zéro), cet artiste s’indigne, nous rappelle au monde. Le spectateur d’abord stupéfié, puis agité de mouvements contradictoires, soudain sent, ressent dans sa poitrine, ce battement oublié, à peine audible, qui s’agite, celui de son sang qui palpite.
Il nous redonne vie, comme ces quelques artistes jusqu’au-boutistes, sans concession, sans calcul, qui ont une vision, qui prennent position, engagés quelque soit l’air du temps ou le sens du vent.
Quel talent !
On aimerait tellement être bousculés plus souvent aussi intelligemment !!!
ACUTI Docteur es Art et Science des Arts, Sculpteur et Auteur